Il s’agit de manger comme nos ancêtres de la longue période paléolithique en tant que cueilleurs/chasseurs ceci avant la révolution de la néolithique, quant à elle, marquée par l’agriculture et la sédentarisation. 

Je m’inspire des peuples racines du pourtour méditerranéen et en particulier d’Afrique du nord depuis la culture atérienne, jusqu’au capsiens en passant bien évidemment par l’iberaumaurisien.

 Nous connaissons maintenant leur manière de se nourrir. 

L’évolution des peuples dit primitifs s’est fait sur le temps long contrairement à notre époque où tout est précipité, ne laissant que très peu de possibilités au pouvoir d’adaptation, ce qui engendre l’apparition de nouvelles maladies en réponse à ces changements trop brutaux imposés par la civilisation industrielle ; ainsi que par le mode de vie que j’estime trop confortable pour prétendre un corps en pleine force et vigueur disposant de toutes les qualités nécessaires utiles à la vie d’un être humain dans un écosystème viable et naturel.